The.wild.rose

Juste en passant...

Samedi 13 août 2011 à 16:59

J'ai appuyé sur le bouton "of".
Le film La Dame d'Izieu vient de se terminer. Une boule au ventre ne me quitte pas depuis, et pourtant j'en ai entendu des témoignages sur l'horreur nazie. Mais là... après avoir suivi pendant près de deux heures l'histoire de 44 enfants juifs protégés dans une sorte de colonie, il est difficile d'imaginer qu'ils ont tous été gazés à Aushwitz. Et pourtant... C'est juste...indescritible tant c'est inhumain. Il n'y a pas de mot. Ou plutôt si. Ces mots là m'ont achevés:
" Je me suis demandé où étaient les enfants arrivés avec nous. Dans le camp il n'y avait pas d'enfant. Ceux qui étaient déjà là depuis longtemps, me dirent : « Tu vois cette cheminée qui ne s'arrête pas de fumer ? ... Tu ne sens pas une odeur de chair cuite... ? » "
Témoignage d'un rescapé d'Auschwitz lors du procès du Boucher de Lyon, Klaus Barbie. 

Voila, je crois c'est tout. Il n'y a rien à ajouter. Tout a déjà été dit. 

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Plaque commémorative, place des 44-Enfants-d'Izieu dans le 13e arrondissement de Paris

Jeudi 11 août 2011 à 11:49

Waou. C'est le seul petit mot qui me vient à l'esprit en ce moment. Mes yeux sont remplies d'étoiles tandis que mes oreilles bourdonnent à tout rompre faute d'avoir perdu ces foutus boule-caisses. Le voyage était digne des plus grands Walt Disney qui vous laissent un sillage de rêves lorsque le mot "End" s'affiche sur l'écran. Le Wacken...Le plus grand festival de métal... Imaginez... Un petit village légèrement huppé. Des petits vieux se baladant tranquillement dans les rues. Et une banderole à l’entrée : WELCOME METALHEADS ! Le rêve absolu. Je n’ai jamais vu un Netto avec autant de metalleux y faisant les courses. Le village Wacken est devenu pour le temps d’une semaine, un village de métal où des nanas déambulaient en soutifs, sans complexe-et où les mecs portaient des tutus rose sans qu’on ne leur fasse de réflexions…

J’y ai vu Ozzy Osborne, Apocalyptica…Motorhead… Et bien d’autres. C’était chouette. Je serais bien devenue lesbienne pour le temps du festoche si mon cœur n’était pas pris ailleurs…

Les faussés puaient la pisse, les mecs osaient t’aborder sans peur des représailles… _ Je peux prendre tes seins en photos ? C’est pour un concours que je fais avec un de mes potes… _ Heu…non ! Mario se promenait dans le camping en compagnie du père noel et de très mignonnes infirmières… De très beaux dreadeux te souriaient tous les 10 mètres… C’était un monde de folie !

Mais c’était si bien. Et l’an prochain, rebelotte. Mais cette fois ci, j’embarque une cravache avec moi…au cas où ! =D

 

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PS : Prise en photos avec les power Rangers… Si c’est pas la classe…

Samedi 14 mai 2011 à 14:37

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J’ai tant de choses à dire, tant de choses à écrire. Pourtant, à présent que je suis devant cette page, plus rien ne sort. Il ne reste plus que ce nœud qui me broie les entrailles.

J’avais tant de questions à poser, tant de larmes à verser. Je t’ai tellement haïe, qu’à présent mon cœur est vide. Je n’arrive même plus à te détester. Tu représentais tout pour moi, plus qu’une amie, plus qu’une sœur. Je t’aurais confié ma vie et je vois à présent ce que tu en aurais fait. T’insulter ne serait que te faire honneur, tu ne mérites même plus que ma langue fourche à ton égard. Tu ne m’inspires plus que de la pitié. Et je sais qu’à présent tous nos amis vont peu à peu me tourner le dos, oublier qui je suis vraiment pour ne voir en moi qu’une petite garce. Puisque tu sais tellement jouer les victimes. Mais un jour, ils sauront te voir telle que tu es réellement, et ce jour-là je serais là pour te voir tomber. Tu m’as tant fait de mal qu’à présent tout ce que je désire c’est t’oublier. T’effacer de ma vie, te rayer de mes souvenirs. Et Dieu seul sait le mal que ça me fait de te dire ça. Parce que je n’arrive même pas à te mépriser. Par habitude je cherche à te donner des excuses. Mais tu as tout fait pour détruire notre amitié. Et ça je ne te le pardonnerai jamais.

Voila, les larmes coulent et je ne parviens pas à les arrêter. Mon cœur lâche, mais ma volonté est plus forte que tout. Ta chance est passée depuis longtemps. Et je m’acharnais à croire que le « nous » survivrait aux tornades. Mais j’avais tord. Et si un jour une flèche venue de nulle part te transperce le cœur. Retourne toi, je t’attendrai, l’arc à la main.

Tu sais, j’aurais tant aimer rencontrer une meilleure amie, une vraie. Comme celle des autres. Une meilleure amie qui efface mes sanglots, une meilleure amie à qui confier mes confidences les plus obscures, une meilleure amie prête à détruire toute personne désirant me faire du mal. Mais je n’ai pas eu cette chance. Toi, tu es celle qui fait couler mes larmes, tu es celle qui trahit mes secrets. Tu es celle qui me fait le plus souffrir.

Mais aujourd’hui c’est terminé. Il n’existe plus de « nous ». Ton poison est parvenu à détruire la chose à laquelle je tenais le plus : notre amitié. Alors ne me dis plus bonjour, ne me regarde plus. Ne pense plus à moi. Et si tu pleures en songeant à notre amitié d'antan, rappelle-toi une chose. Tout est de ta faute.

Pix: .Scream. By Ninjin nezumi

Dimanche 30 janvier 2011 à 20:55

 

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Pourquoi je ne lui avoue pas tout simplement ? C’est vrai ça, ce serait tellement plus simple. Si j‘avais confiance en moi, si je me foutais de son statut « occupé », si je…. Non, plus de si. C’est clair, je donnerai tout pour le voir sourire, et j’arracherai le cœur à toute personne qui oserait le faire souffrir. Parce qu’il est mon étoile. Parce qu’il est cette étoile. Je le sais depuis longtemps, et aujourd’hui encore, cette idée c’est encore affirmée. Mais je n’y peux rien. La situation doit me suffire à défaut de me convenir. Parce que je suis une des ses amies les plus proches…Peut être bien plus…mais pas comme moi je veux. Et pourtant… pourtant je sais que tout n’est pas perdu, que nous deux, c’est fusionnel, et ça l’a toujours été.  Complémentaires. C'est le mot. Mais ça ne me suffit pas. C'est tout ou rien. Et pour le moment, je suis obligée de le partager. Alors je demeure dans l'ombre d'un quai, en attendant mon heure, que mon train arrive. Mais je ne perds pas espoir. Parce que pour la première fois, je sais que ça s'arrangera et qu'il me reviendra. Qu'il ouvrira les yeux. Et qu'il verra comme moi je vois.

 

 

[Aujourd’hui encore, il est parvenu à faire un je-ne-sais-quoi qui me fait fondre. Ce n’était pas une journée extraordinaire, mais à choisir, j’en vivrais des milliers comme celle-ci.]

Pix: The Rails,feudal89

 

Vendredi 28 janvier 2011 à 18:56

 
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A l'heure d'aujourd'hui, je crois bien la haïr. Les erreurs s'accumulent, la douleur s'accentue. Et elle le sait. C'est bien ça le pire dans l'histoire. Mais c'est vrai, je l'avoue. Je n'ai pas ses formes et son sourire toujours au rendez vous. Je n'ai pas ce côté tactile et optimiste qui fait qu'elle ne sait qu'être de bonne humeur. Mais j'ai au moins une chose qu'elle n'a pas. Le sens de l'amitié.
Franchement, je n'aurais jamais cru qu'elle pourrait me faire ça. Une meilleure amie, tu parles. Avec son sourire hypocrite, et ses côtés de jeune femme naïve... se cache une superbe garce. Et dire que je n'ai su que m'écraser en face d'elle...C'est terminé. Je m'étais jurée qu'un mec ne se mettrait jamais entre nous. Parce que l'amitié est plus forte que tout...
Mais tout le monde n'a pas la même vision de la chose apparemment.
Et cette fois-ci c'est la goutte. La prochaine fois, c'est ma main en travers de son visage. 
Point.

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