J’y ai vu Ozzy Osborne, Apocalyptica…Motorhead… Et bien d’autres. C’était chouette. Je serais bien devenue lesbienne pour le temps du festoche si mon cœur n’était pas pris ailleurs…
Les faussés puaient la pisse, les mecs osaient t’aborder sans peur des représailles… _ Je peux prendre tes seins en photos ? C’est pour un concours que je fais avec un de mes potes… _ Heu…non ! Mario se promenait dans le camping en compagnie du père noel et de très mignonnes infirmières… De très beaux dreadeux te souriaient tous les 10 mètres… C’était un monde de folie !
Mais c’était si bien. Et l’an prochain, rebelotte. Mais cette fois ci, j’embarque une cravache avec moi…au cas où ! =D
PS : Prise en photos avec les power Rangers… Si c’est pas la classe…
J’ai tant de choses à dire, tant de choses à écrire. Pourtant, à présent que je suis devant cette page, plus rien ne sort. Il ne reste plus que ce nœud qui me broie les entrailles.
J’avais tant de questions à poser, tant de larmes à verser. Je t’ai tellement haïe, qu’à présent mon cœur est vide. Je n’arrive même plus à te détester. Tu représentais tout pour moi, plus qu’une amie, plus qu’une sœur. Je t’aurais confié ma vie et je vois à présent ce que tu en aurais fait. T’insulter ne serait que te faire honneur, tu ne mérites même plus que ma langue fourche à ton égard. Tu ne m’inspires plus que de la pitié. Et je sais qu’à présent tous nos amis vont peu à peu me tourner le dos, oublier qui je suis vraiment pour ne voir en moi qu’une petite garce. Puisque tu sais tellement jouer les victimes. Mais un jour, ils sauront te voir telle que tu es réellement, et ce jour-là je serais là pour te voir tomber. Tu m’as tant fait de mal qu’à présent tout ce que je désire c’est t’oublier. T’effacer de ma vie, te rayer de mes souvenirs. Et Dieu seul sait le mal que ça me fait de te dire ça. Parce que je n’arrive même pas à te mépriser. Par habitude je cherche à te donner des excuses. Mais tu as tout fait pour détruire notre amitié. Et ça je ne te le pardonnerai jamais.
Voila, les larmes coulent et je ne parviens pas à les arrêter. Mon cœur lâche, mais ma volonté est plus forte que tout. Ta chance est passée depuis longtemps. Et je m’acharnais à croire que le « nous » survivrait aux tornades. Mais j’avais tord. Et si un jour une flèche venue de nulle part te transperce le cœur. Retourne toi, je t’attendrai, l’arc à la main.
Tu sais, j’aurais tant aimer rencontrer une meilleure amie, une vraie. Comme celle des autres. Une meilleure amie qui efface mes sanglots, une meilleure amie à qui confier mes confidences les plus obscures, une meilleure amie prête à détruire toute personne désirant me faire du mal. Mais je n’ai pas eu cette chance. Toi, tu es celle qui fait couler mes larmes, tu es celle qui trahit mes secrets. Tu es celle qui me fait le plus souffrir.
Mais aujourd’hui c’est terminé. Il n’existe plus de « nous ». Ton poison est parvenu à détruire la chose à laquelle je tenais le plus : notre amitié. Alors ne me dis plus bonjour, ne me regarde plus. Ne pense plus à moi. Et si tu pleures en songeant à notre amitié d'antan, rappelle-toi une chose. Tout est de ta faute.
Pix: .Scream. By Ninjin nezumi
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Pourquoi je ne lui avoue pas tout simplement ? C’est vrai ça, ce serait tellement plus simple. Si j‘avais confiance en moi, si je me foutais de son statut « occupé », si je…. Non, plus de si. C’est clair, je donnerai tout pour le voir sourire, et j’arracherai le cœur à toute personne qui oserait le faire souffrir. Parce qu’il est mon étoile. Parce qu’il est cette étoile. Je le sais depuis longtemps, et aujourd’hui encore, cette idée c’est encore affirmée. Mais je n’y peux rien. La situation doit me suffire à défaut de me convenir. Parce que je suis une des ses amies les plus proches…Peut être bien plus…mais pas comme moi je veux. Et pourtant… pourtant je sais que tout n’est pas perdu, que nous deux, c’est fusionnel, et ça l’a toujours été. Complémentaires. C'est le mot. Mais ça ne me suffit pas. C'est tout ou rien. Et pour le moment, je suis obligée de le partager. Alors je demeure dans l'ombre d'un quai, en attendant mon heure, que mon train arrive. Mais je ne perds pas espoir. Parce que pour la première fois, je sais que ça s'arrangera et qu'il me reviendra. Qu'il ouvrira les yeux. Et qu'il verra comme moi je vois.
[Aujourd’hui encore, il est parvenu à faire un je-ne-sais-quoi qui me fait fondre. Ce n’était pas une journée extraordinaire, mais à choisir, j’en vivrais des milliers comme celle-ci.]
Pix: The Rails,feudal89